NOTES
Au chant II de l'Iliade, après avoir répondu aux discours insultants envers Agamemnon, que Thersite tient à l'armée grecque: « Il dit; et le frappe du sceptre. Thersite se courbe; de ses yeux tombent un torrent de larmes : à l'instant s'élève sur son dos une tumeur ensanglantée sous le coup du sceptre d'or. Il s'assied et tremble : saisi de douleur, offrant un visage hideux, il essuyait ses larmes. Un rire universel éclate parmi les Grecs [...]. » (traduction de Bitaubé, Paris, Tenré, 1822, tome I, p. 114; le livre se trouvait à Hauteville House).